*Sniiiiiif* Hmmm, tu la sens cette bonne odeur d’inspiration ? Pas moi. Et puis d’abord, est-ce qu’une inspiration peut avoir une odeur ? Je veux dire, une odeur ça vient vers toi, contrairement à l’inspiration de quelqu’un en face de toi, du coup tu peux pas sentir l’inspiration de quelqu’un d’autre… Quant à la tienne, ta propre inspiration, elle te sert à sentir le monde qui t’entoure, donc si elle avait une odeur ça serait pas du tout pratique, ça fausserait tous les résultats… Je sais pas. T’en penses quoi, toi ? Est-ce qu’on peut sentir une inspiration ? Si tu as une participation à ajouter au débat, je t’invite à la laisser dans les commentaires, on s’amusera tous ensemble sur le sujet. Ça va être marrant.

Bon ! C’est beau tout ça, de parler d’inspiration et de je-ne-sais quelle question existentielle, mais c’est pas ce qui va présenter le jeu de mot pourri de ce mois-ci… Alors ! Bah c’est Jeanne Dark. Ah, tu connais pas Jeanne Dark ? Mais si ! C’est la nana qui était émo-maniaco-dépressive au Moyen-Âge, et elle était tellement blasée que quand les Anglais (qui venaient pour nous voler la recette du pâté de crabe) l’ont vue, ils se sont dit « oh non les mecs elle va nous refiler sa dépression » et ils sont partis. Après, l’Église s’est dit « quoi ? Comment ça elle va leur refiler sa dépression ? C’est contagieux ce truc-là ?? » Et du coup ils l’ont brûlée pour leur propre sécurité psychologique. Jeanne Dark, elle, est restée relativement passive jusqu’au bout, ne lâchant que de temps en temps des petits « de toute façon on va tous mourir un jour » ou encore « z’êtes sérieux les gars le feu va faire fondre mon mascara, franchement c’est pas cool »… Une vraie héroïne, un modèle pour nous tous. Du coup, forcément, je me sentais obligée de faire un article sur elle.

Eh bah voilàà ! L’inspiration vient en mangeant, comme on dit.

J’ai fini, du coup. Mais toi en revanche… Tu peux écrire des trucs dans les commentaires, voter dans les sondages, profiter des dernières heures de la présentatiion actuelle…

Hein, quoi ? J’ai dit quelque chose ? Mais pas du tout.

Sur ce, on se retrouve dimanche prochain pour… Quoi ? Comment ça « non » ? On est le combien ? Le 5 août ? …

Héhé.

Ouais.

Allez salut ma noisette. è∇é